Sunday, November 06, 2005

DARK CITY / Réponses & Questions

"Un homme s'éveille au fond d'une baignoire, désorienté, il ne sait plus où il est, ce qu'il fait nu dans cette baignoire et pourquoi il se trouve dans une chambre d'hôtel minable. Il découvre le cadavre d'une femme atrocement mutilé. Est-il le meurtrier? À la suite de ce meurtre, aurait-il tout oublié du crime immonde qu'il a commis? Et, la question la plus importante et qui le hante au point de le rendre fou : " qui suis-je "?
Le téléphone sonne et une voix lui ordonne de fuir, de quitter cet endroit maudit. Il apprend alors son nom : Murdoch. Il fuit l'hôtel et débute sa quête pour retrouver son identité.
Voilà un début qui est plus digne d'un polar que d'un film s-f. Mais ne vous laissez pas tromper par les apparences, apparences qui ne feront que vous dérouter... Vous entrez dans un autre univers à la saveur des films noirs des années 40 et 50. Une ville sombre, éternellement sombre, étouffante qui ne va pas sans rappeler celle du film The Crow. Une ville sortie droit d'un cauchemar, une ville entre le temps et les époques. Un labyrinthe de rues, de ruelles, de " buildings " et un métro qui ne mène nulle part! Une ville semblable au labyrinthe utilisé dans certaines expériences avec des rats de laboratoire. Et l'un des rats se nomme John Murdock.
Mais si la ville est un immense laboratoire, qui est l'observateur, le scientifique? Quel est le but de cette expérience sur une population humaine? Autant de questions auxquelles ce film répondra en temps et lieu!"


Voiçi le pitch de "Dark City", (un eminent précurseur a "Matrix", parfois plus juste par certain côtés) ce film est un jeu-video: il peut se traduire par l'intervention d'une entité humaine au coeur d'un logiciel, d'une matrice justement.
Tout cela est bien sûr personnifier et le mystique cotoît le scientifique (science-fiction), mais le film offre plusieurs niveaux de lecture et son déroulement offre une issue interessante, que l'on peut également retrouver dans la trilogie "Matrix", une fois que le sujet de l'expérience a compris le moyen de se servir de ses univers simulés, qu'il en a compris le système aprés avoir oppérer un retour aux source, il le modifie de façon personel dans une sorte de retour en enfance: il recréer un monde a partir des souvenir du réel.
Mais ce n'est qu'une nouvelle simulation peut-être même plus perverse et en tout cas, plus complexe car provoquée par des entités hybrides , des sortes d'humain-machines, traitant les informations, les sentiments et la spiritualitée avec des pouvoir gigantesques.

Et ce sont des humains, donc des individus en quête de bonheur, des individus façonnés par l'espérance et la question ce pose alors:
Que deviennent ces mondes simulés ? Une fois que la petite fille a créer un ciel dotée d'un magnifique dégradé photoshop, ne va t'elle pas être rejoint par l'immense frustration universelle? Ne va t-elle pas avoir besoin de s'échaper une nouvelle fois, ne vas-t-elle pas ressentir l'envie irrépréssible de se révéiller dans quelque-chose d'autre?
Je suis comme elle, je veux des suites, des dévellopements, des alternatives, je veux aller plus loin. Je suis comme tout le monde je voudrais pouvoir tomber a genou et comtempler bouche-bée, mais je suis comme tout le monde, je ne sais pas quoi.

Mais si j'appartenai à un scénario qui me donnerait la possibilité de remodeler la réalité d'un monde post-apocalyptique, je ne suis pas sûr que je reviendrai en arrière...

L.S

2 Comments:

Blogger NL said...

Tu as absolument raison et j'avoue que ce genre de racourcis est un peu trop racourcis justement.
En fait ce que je voulais dire par là c'est que, si l'on considère le jeu video comme un espace intermédiaire entre deux réalités, alors se film en est une représentation.
Mais la représentation d'une cuillière n'est pas une cuillère, ou peut-être que oui...
L.S

1:14 AM  
Blogger Gui said...

Salut a vous...
Et oui rien ne m'échappe...
tu a écrit "ce film est un jeu-video: il peut se traduire par l'intervention d'une entité humaine au coeur d'un logiciel, d'une matrice justement.
"
Cela m'a fait pensez a TRON...
Ou le hero se retrouve dans le reseau et est face a face avec une IA qui le considere comme un virus, des virus qu'il rencontrera et qui on un aspect humain... (personnification!?!)
ET pour la reference de ta derniere phrase cela me renvois a "l'armée des douzes singes", ou les autorités superieures n'empeche pas la propagation du virus mais cherche plutot a recuperer une souche de celui ci seulement dans le but de faire un antidote pour leur Present a eux, et ne pas s'en servir dans le Passer pour eviter la catastrophe mais seulement enrailler cette catastrophe dans leur Present... (je me repete un peu)
On peut voir ca de cette maniere: si on change ce qui a été, (apocalypse) alors on ne l'experimentera pas et on ne pourra pas en tirer des lecons...
Ce qui prouve que l'on a besoin d'evenement choc pour avoir une prise de conscience...
et que l'on doit faire un choix en prenant compte des actions passé tous comme dans les jeux videos; notre avatar (incarnation d'une divinité dans un plan terestre) qui a ramaser un objet precieux, a dut tuer des mechant et irriter le boss, qui est "venere" il va donc en subir les consequences...

Bon et bien bonne continuation, je m'y met de m'on coter...
Je vous tiendrais au courant...

6:42 PM  

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